Errare humanum est, perseverare diabolicum
La chasse aux erreurs: en 1978 l’intelligence artificielle n’existait pas, mais son pendant, la connerie naturelle, prenait ses marques
Début 2023, évaluation (Tavares n’était pas député) des recettes perçues par l’État pour l’année : Total général 1 961,1 Md€, juste après un passage festif par la buvette de l’assemblée.
Début 2024, information reçue à la buvette , avec tristesse et banalité, le déficit budgétaire de l’État s’est élevé à 173,0 Md€ pour 2023, soit une erreur de 8.8 %
Est-ce une mauvaise manip de la calculette ? Encore les piles chinoises en cause ?

De 1978 à 2023, le déficit budgétaire de la France a évolué de 1 % a 6 % du budget prévisionel, comme une horloge fatiguée . Le cumul moyen des erreurs gouvernementales, approuvées par les députés entre 1978 et 2023 est de 115 %. Trop préoccupés par un avenir qui chante (interdit à la buvette), personne ne se rend compte de la non-sincérité des budgets prévisionnels ?
Les membre de TBB qui n’ont pas séché les cours de morale, de civisme et de calcul, à l’école primaire se souviennent de l’instituteur qui tançait les plus mauvais garnements. Mais la société évolue, il suffirait d’intéresser nos élus au résultat des erreurs positives et négatives sur ces annonces de budget.
The Brain Bypass: une action basée sur la récompense
Note: d’importantes économies sont prévues sur ce poste
1-Pour les députés convaincus de mauvaises prévisions systématique: ll faut profiter des périodes siégées à l’assemblée pour augmenter les budgets accordés aux établissements sociaux et créer des abris dans les jardins du Luxembourg pour ces éventuels députés devenus indigents (état final fréquent chez les personnes qui ne savent pas calculer)
2-Eviter d’investir dans des résidences 5 étoiles pour les députés récompensés ,qui ont pour vocation de inoccupées (ne pas reproduire le « Stellantis syndrome » suite à une expérience de 45 ans de budget)
3- Au lieu de perdre un temps fou avec discussions stériles et calculs hasardeux pour aboutir à un résultat faux, il suffit, une fois pour toute de prendre le résultat réel de l’année N-1 pour l’appliquer à l’année N. Fini pour l’éternité les erreurs et pertes de temps, gain de temps mis à profit pour augmenter les résultats de l’année N , et partir sereins au budget de N+1